Le projet bouclier de perles a été lancé par Vemrich Ier au début de l'Avènement d'Aldérande en l'an 11. Il consiste en une série de trois stations servant à la fois de spatioport, spatiodock et avant-garde naval d'Aldérande. Il se compose de trois stations : Station du Peuple (abandonnée), Station de la Nation (aujourd'hui Royal Navy Medical Space Center), et la principale, située entre les deux autres la Station de l'Aigle (aujourd'hui Station de la Rennaissance).
Contexte[]
Alors que Vemrich Ier vient de devenir Roi, il entreprend une politique isolationniste visant à rendre opaque la société alderaanienne auprès des étrangers et ainsi couper de la galaxie Aldérande.
Il créé donc trois stations.
- La station de la Nation
- La station de l'Aigle
- La station du Peuple.
Ces trois stations avaient pour objectif d'accueillir les étrangers en leur proposant une multitude de services, en tant que hub spatioportuaire. Il s'agit de l'interface multimodale alderaanienne, en gros c'est la porte d'entrée d'Aldérande, et multimodale signifie qu'elles offrent tous les types de transport (speeders, ascenseurs, métros etc). Encore aujourd'hui, à l'instar de l'Aéroport Roissy Charles de Gaulle à Paris ou l'Aéroport JFK à New York, ce complexe est nécessaire pour entrer sur le territoire alderaanien, c'est là bas qu'il y a les douanes, le service des visas, et les correspondances hyperspatiales avec le reste de la galaxie. En plus du rôle similaire à un aéroport IRL, ce complexe a un rôle défensif, il comprend en effet dans les étages supérieurs l'état-major de la marine alderaanienne et les bureaux du First Space Lord. Ces stations étaient extrêmement protégées, aujourd'hui seul deux le sont encore.
La station de l'Aigle, aujourd'hui station de la Rennaissance[]
Plus grosse station, il s'agit du complexe central du bouclier de perles visant à protéger Aldérande de l'Etranger. Il a été imaginé par l'architecte Foumi personnel de Vemrich Ier, à la fois comme citadelle spatiale et comme spatioport et spatiodock qui n'a rien à envier aux spatioports coruscantis ou alsakanis. Ce fut aussi à son inauguration un grand outil de propagande.
À la fois QG de chasseurs, caserne flottante et état-major de la Royal Navy, ce complexe malgré son utilisation principalement civile est administrée par des militaires. L'ordre au sein de la station est assurée par la police des frontières, filiale de la Gendarmerie Royale, donc des militaires.
Initialement construit avec des matériaux nobles, du marbre, de l'or, des métaux précieux et des ornures en diamant (style Vemrich Ier), la station a été dépouillée de sa beauté et de ses richesses à la Restauration Panteer, puisqu'à la chute des Weeti, les caisses de l'État étaient vides et qu'il fallait donc les remplir, on a donc dépouiller toute une série de bâtiments de style Vemrich Ier, signes d'une prospérité passée pour revendre les matériaux.
Lors de la chute de l'Empire, aussi appelé Grand Exil, la station de l'Aigle est renommée station de la Rennaissance, en l'hommage de la nouvelle dynastie Panteer, qui s'attache alors à une volonté de renouveau. Encore aujourd'hui la station est un des plus grands spatioports du Noyau, chaque jour des millions de voyageurs y passent et elle possède de nombreuses infrastructures et services dédiés aux civils et aux militaires de la station : cantinas, centres commeciaux, terminaux spatioportuaires, docks, hangars d'accueil etc.
Aujourd'hui la station coûte une fortune a entretenir et le savoir faire architectural de l'Empire étant très complexe, il est onéreux et lent d'entretenir le complexe qui tombe en ruines. Pour les Alderaaniens il est impensable de se passer d'une station orbitale, ce complexe permettant de filtrer et régulariser les entrées sur le territoire. Seul les ministres, les pairs et autres notabes peuvent attérir directement sur Aldérande, après cependant avoir entré les codes d'idenfication à la tour de contrôle de la station de la rennaissance. Il s'agit donc d'un débat citoyen de premier plan dans le monde politique alderaanien.
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Royal Navy Medical Space Center (anciennement Station de la Nation)
Initialement, la station de la Nation avait le même objectif que la station de l'Aigle, mais bien plus petite tout comme sa jumelle la station de la Nation. Ces deux stations visaient à désengorger la grande station de l'Aigle.
A la chute de l'Empire, les caisses sont vides et Aldérande n'a plus les moyens d'entretenir les trois stations, Air Alderaan toujours maintenu par ATC tente tant bien que mal de maintenir les vols en place, mais faute de clients, les Alderaaniens sont eux aussi ruinés et affaiblis par la guerre civile ne voyagent plus, et les touristes cessent de venir du fait de la guerre, Air Alderaan, qui gérait sous les Weeti l'intégralité des voyages spatiaux Alderaaniens, ampute en l'an 26 la plupart de ses vols pour se concentrer uniquement sur les grands pôles voisins.
Quoiqu'il en soit après un an d'abandon, du fait des manques de budget de la nouvelle dynastie, l'ancienne station est transformée en hôpital militaire pour la Navy. Elle est inaugurée en l'an 27 par le First Space Lord, Sir Arthur MacMahon. La station de la Nation est aujourd'hui appelé Royal navy Medical Space Center.
La station du Peuple, aujourd'hui abandonnée[]
Station du Peuple
Après la chute de l'Empire les caisses sont vides, et Air Alderaan avec le nouveau gouvernement alderaanien de la Reine Katei, décident de fermer les deux stations secondaires. Finalement seule un des deux sera revitalisée en l'an 27 pour devenir un hôpital militaire. La station du Peuple, elle en revanche est toujours abandonnée et est devenue un spot incontournable de l'urbex alderaanien. Tel un arrêt dans le temps, les urbexers peuvent admirer les immenses fresques typiques de la dynastie Weeti et le style patriotique omniprésent de cette station d'antan, véritable échantillon du passé conservé. Néanmoins la station tombe en ruine et petit à petit du fait de l'usure et du manque d'entretien elle se déssosse et de plus en plus l'étanchéité est percée dans de nombreuses parties de la station.
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Fresque murale de la station abandonnée